Saint Seiya Divine Chapter
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 N'y a t il donc aucun répit?

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Osiris
|Dieu des Morts|

Osiris


Messages : 7
Date d'inscription : 26/11/2011

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MessageSujet: N'y a t il donc aucun répit?   N'y a t il donc aucun répit? Icon_minitimeSam 10 Déc - 19:40

Osiris, le dieu contre lequel seul son frère Seth avait osé s'élevé était de retour et même immortel, il était désormais fatigué, il avait dû réparer les erreurs faites dans les mondes des morts, Hadès... qu'avait il donc fait, pourquoi tout cela s'était passé? Les espions du dieu mort n'étaient pas encore de retour et il siégeait là, dans son temple de lumière. Car le lieu où reposait ce seigneur était un lieu de vie, comme celui d'Abydos, où dans les temps anciens, les prêtresses lui consacrait un culte aimant et dévoué. Mais quelque part, Osiris était mélancolique, il ne comprenait pas ce nouveau monde, les hommes ils étaient tellement différents et pourtant, toujours les mêmes, dans le sang et les larmes ils écrivaient leur Histoire, pathétique, lui le dieu de vie, lui le dieu qui avait inventé la religion, désormais les hommes se battaient au nom de cette même religion, d'une Foi illusoire qui excusait leurs actes les plus atroces. Une guerre... comment pouvait elle être sainte? Il avait apprit que non loin des sables de l’Égypte se déroulait une immense guerre, les hommes l'avaient appelé croisade au nom d'un hypothétique dieu unique dans la ville de Jérusalem.
Le seigneur des morts n'avait jamais rencontré ce nazaréen ni même son prétendu père, comment pouvait on ce battre sans Foi? Osiris ne pouvait pas le comprendre. Chacun des canopes qu'il avait sous ses ordres croyait en lui, se battait pour lui et en son nom parce qu'il connaissait ses pouvoirs et adhérait à ses idéaux... mais enfin... tant que cela ne dérangeait pas la tranquillité de son royaume.
Osiris porta sa main devant son visage, admirant chacun des tatouages recouvrant sa peau, une longue série de symboles lui permettant de tenir dans un corps autre que celui embaumé, il avait eut besoin de se mouvoir et de regarder le monde. Sur son trône juste à côté de lui, sur chacun de ses accoudoir se trouvait ses symboles de puissance et de roi qu'il ne quittait jamais, il y avait posé un sort, afin qu'il soit le seul à pouvoir les toucher et même Isis, sa bien aimée, ne pouvait espérer s'en emparer, pas même avec le consentement de son époux. Sa main fini par toucher son visage recouvert de ce manteau à capuchon, sa barbe au niveau du menton toujours présente, il avait maquillé ses yeux comme par le passé. Très peu de chose au final, le différenciait de ce qu'il avait été, sa couronne posé devant le trône, son teint blanc. Il siégeait, attendant de pouvoir trouver un peu de repos et de réconfort, il n'avait presque pas revu Isis depuis que l'un et l'autre étaient sortit de leur très long sommeil, les affaires du dieu des morts primant sur sa condition d'époux et sur les attention qu'il pouvait porter à sa femme.
Le temple du dieu était une oasis de vie à lui tout seul, entouré de verdure et jusqu'à l'intérieur où cheminait une sorte de rivière alimentant chacune des plantes, chacun des bassin. Si l'on regardait le temple du dieu de haut, on pourrait se rendre compte que ce réseau d'eau formait en fait, l’œil d'Horus dont le trône d'Osiris était le centre parfait. Sur tout les murs, des scènes de jugement, des hiéroglyphes décrivant son histoire, sa naissance, comment il était tombé amoureux d'Isis, comment elle l'avait sauvé de Seth.
Osiris avait une coupe à la main lorsqu'il entendit quelqu'un pénétrer dans son temple, se levant brusquement, il observa autour de lui, attrapant dans une de ses mains son fouet, mais il ressentit alors l'emprunte magique d'Isis, détendant ses muscles aussitôt, il vit bientôt son épouse devant lui et il prit les devant en s'approchant d'elle, toujours le visage légèrement caché par sa capuche, il attrapa délicatement les deux mains de son épouse...


"J'espère que vous ne venez pas clamer votre aigreur à mon encontre, j'ai conscience de vous avoir délaissé, mais mon royaume m'appelait plus que de raison. Savez vous ce qui nous vaut tant de troubles, ô Isis mon épouse, le monde aurait il perdu la raison?"


Osiris lui sourit malgré tout, fermant les yeux et appréciant le parfum délicat de son épouse venir jusqu'à lui, il était heureux de sa présence, mais ne pourrait supporter des reproches sur ses actes récents.
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Isis
|Déesse de la Vie|

Isis


Messages : 16
Date d'inscription : 03/12/2011

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MessageSujet: Re: N'y a t il donc aucun répit?   N'y a t il donc aucun répit? Icon_minitimeLun 19 Déc - 12:08

Cela faisait déjà plusieurs semaines qu'Horus avait souhaité le réveil de ses parents. Isis avait été tiré du sommeil par son époux en personne, les plongeant tous deux dans une nouvelle époque, un nouveau monde qui semblait bien complexe à comprendre. La déesse de la vie s'était vu enlevé son mari dès les premiers instants de leur réveil. A peine le temps de s'embrasser, de se serrer l'un contre l'autre, que déjà d'autres affaires l'appelaient, l'éloignant de sa bien-aimée. Elle-même avait dû se mettre aux courants des affaires en cours et de ce nouveau monde dont elle ignorait tout. C'était là la charge qui leur était dévolue. Être des divins n'étaient pas de tout repos, bien au contraire. La déesse avait durement travaillé comme toujours mais elle se sentait aussi bien seule et perdue dans ce monde qui n'était plus le sien. La crainte l'avait saisit devant tous les progrès fait par les hommes. Des êtres qui plutôt que de s'en remettre aux dieux avaient préféré privilégier la médecine et la science. Ils avaient oublié les anciennes croyances et la magie. Pire, ils avaient relégué cette dernière au rang de simples tours de passe-passe. Par Horus, comment cela avait-il pu arriver ? Isis se sentait perdue. Elle qui avait tant œuvré pour les hommes. Elle qui leur avait tant appris se trouvait oubliée et ses enseignements étaient perdus dans les limbes du passé. Mais où donc comptait aller ce monde s'il oubliait ainsi son passé et son histoire ?
Isis faisait les cent pas dans son temple. Elle, toujours si posée, se sentait nerveuse et angoissée. L'inquiétude face à ce monde n'était pas la seule cause de sa nervosité. La déesse s'était disputée avec son époux quelques temps plus tôt. Eux qui n'avaient jamais eu une seule dispute auparavant. Et voilà qu'ils agissaient comme de simples humains. Enfin, elle surtout. C'était elle qui avait provoqué l'altercation. Elle avait reproché à son époux son indisponibilité. Osiris s'occupait lui aussi des affaires de ce nouveau monde et du problème d'équilibre dans le royaume des morts mais il en avait délaissée sa chère épouse. D'habitude, Isis n'en aurait pas fait cas ou plutôt, elle ne lui en aurait pas tenu rigueur mais là c'était différent. Elle regrettait son absence à ses côtés alors qu'elle se sentait perdue dans ce siècle si loin du leur. Elle aurait eu tant besoin de lui, de sa présence sécurisante, de son soutien. Mais lui ne l'avait pas compris. Il avait préféré s'intéresser aux problèmes des hommes plutôt qu'à l'angoisse de sa femme. Oui, elle était une déesse mais cela ne l'empêchait pas d'avoir des réactions ou des sentiments de nature humaine. Après tout, les dieux étaient simplement des hommes avec des pouvoirs bien particuliers. Isis s'en voulait de la dispute qu'elle avait provoqué et elle en voulait toujours un peu à son divin époux de ne pas avoir compris que c'était la crainte qui l'avait fait ainsi parler. Décidément cette ère ne lui plaisait guère. Malgré tout, elle ne pourrait faire autrement que d'y vivre.
Elle était bien consciente aussi des dangers que couraient les hommes avec la libération de son frère Seth. De plus, la disparition d'Hadès n'avait rien de bien rassurant. L'équilibre du monde était rompu et de nouvelles guerres se préparaient. De nouveaux dieux régnaient venant de l'Est et les Sanctuaires grecs dont celui d'Athéna semblait en piteux état. Il allait falloir remédier à tout cela et surtout protéger le peuple égyptien. Malgré qu'ils aient oubliés les dieux, ils restaient toujours leur peuple comme leurs enfants. Des enfants parfois inconscients et futiles mais qui méritaient de vivre afin de grandir en bien et en sagesse. C'était ainsi qu'Isis avait toujours perçu les hommes comme des enfants jeunes qu'il fallait éduquer et guider avec amour et patience. Son instinct maternelle avait toujours été très fort même bien avant la naissance de son fils Horus. Un instinct aussi fort que l'amour qu'elle portait à son époux pour qui elle avait bravé bien des dangers.
*Cette dispute est stupide ! Stupide et futile. Pourtant j'aurai tant aimé qu'il comprenne mon angoisse. Mais je ne peux lui en tenir rigueur. Lui-même doit se sentir bien étranger à tout cela.*
Ne supportant pas cette situation, la déesse décida d'aller justement voir Osiris. Il y avait trop de problèmes actuellement pour qu'ils restent fâchés. Et puis ce n'était pas dans leur nature, ni à l'un, ni à l'autre. Isis ne pouvait que plaindre sa sœur Nephtys qui, elle, devait supporter l'aigreur et la rancœur de Seth. D'un pas alerte et décidé, Isis quitta son temple pour se rendre dans celui de son compagnon. Si Osiris était le dieu des morts, son temple, comme celui de son épouse, respirait la vie. Preuve que la mort n'était qu'un passage entre deux mondes mais que le monde des morts pouvait être aussi beau que celui des vivants. Osiris avait changé le monde souterrains, le rendant fertile et magnifique. Isis hésita un instant avant de pénétrer dans le temple de son époux mais finit par franchir l'entrée. Elle se dirigea vers la salle du trône où elle le sentait présent. Alors qu'elle l'apercevait au loin, sa poitrine et son cœur se gonflèrent de joie et d'amour. Il avait bien peu changé depuis leur sommeil. Il restait le même. Il serait toujours le même pour elle. Elle-même n'avait pas changé grand-chose à son apparence d'avant. Elle conservait sa robe longue et blanche égyptienne typique. Un collier large masquait la base de son cou et de sa gorge. Ses cheveux étaient laissés libres et ses yeux portaient le Khôl noir habituel. Elle était pieds nus comme souvent. Elle n'avait jamais aimé porter de chaussures. Elle trouvait que cela l'emprisonnait d'une certaine manière. Isis préférait la liberté. Elle se rapprocha de son mari qui s'était levé, sentant, sans nul doute sa présence. Il s'approcha d'elle et lui saisit les mains. Par les dieux comme ce simple contact lui avait manqué.
« J'espère que vous ne venez pas clamer votre aigreur à mon encontre, j'ai conscience de vous avoir délaissé, mais mon royaume m'appelait plus que de raison. Savez vous ce qui nous vaut tant de troubles, ô Isis mon épouse, le monde aurait il perdu la raison ? »
La dernière phrase ne faisait que confirmer les soupçons d'Isis. Son mari avait autant de mal qu'elle a s'adapter à ce nouveau siècle. Elle lui sourit tendrement, montrant par là qu'elle n'était en aucun cas venu se plaindre ou se disputer. Elle garda un instant ses mains dans les siennes avant d'en laisser une remonter pour aller caresser la joue de son amour. Comme il lui avait manqué !
« Non mon ami, je ne suis point venue pour me disputer ou vous reprocher quoi que ce soit. Je suis navrée pour les reproches que je vous ai adressé il y a peu. Comme vous, je me sentais perdue dans ce nouveau monde si différent du notre. J'avais peur, très peur, je peux bien vous l'avouer mon époux. Je crains cette ère si... incompréhensible. J'avais tant besoin de vous. Mais en aucun cas, je n'aurai dû me mettre en colère. C'était indigne d'une déesse et de votre épouse. J'ose espérer que vous ne me tiendrez pas rigueur pour cette dispute. »
Si elle mourrait d'envie de se blottir dans ses bras, elle n'en fit rien. Elle ne savait sin Osiris lui pardonnerait son écart.
« Ce monde est bien étrange mon aimé. L'équilibre a été rompu et des dieux étrangers cherchent à prendre le pouvoir. Du moins, c'est ce que je crains. Je sens des forces peu communes, des forces divines venir de l'Est. Je crains pour notre peuple et notre fils. Les guerres risquent de reprendre, Osiris. D'ailleurs c'est probablement pour cela que nous avons été réveillé. »
La main toujours sur la joue de son mari, Isis attendait son verdict. Les armées devraient bientôt se lever pour protéger leur peuple et contrer Seth et les autres dieux qui voudraient s'en prendre à leurs terres.
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Osiris
|Dieu des Morts|

Osiris


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MessageSujet: Re: N'y a t il donc aucun répit?   N'y a t il donc aucun répit? Icon_minitimeMar 27 Déc - 3:02

"Nous vivons une époque redoutable..."

Osiris saisit la nuque de son épouse dans la paume de sa main, il ne l'avait pas touché ni regardé ainsi depuis plusieurs centaines d'années et quelque part, cela le troublait énormément. Ils se retrouvaient là, l'un face à l'autre sans pour autant savoir ce qu'il fallait faire, comme le jour de leurs rencontre. Certes ils étaient frère et soeur, mais l'amour divin ne s'arrête pas à ce genre de considération. Il restait là, immobile, le grand osiris, tétanisé par une femme qu'il aimait par dessus tout, mais même pour qui, et nous en avions encore eut la preuve, il ne délaisserai pas son royaume et sa fonction. Quoiqu'il en soit, il se tourna légèrement après effleuré la nuque si douce d'Isis, elle semblait avoir prit grand soin d'elle. Ses vêtements étaient magnifique et son parfum envoutait non seulement son époux, mais également tout le temple dans lequel ils se trouvaient tout deux. La nature d'Osiris semblait reprendre des couleurs et certaines fleurs, sous l'impulsion du couple, venaient à éclore dans le lieu de vie du Dieu des morts.

"Voilà bien longtemps à présent que j'ai planté l'arbre de vie d'Horus et pourtant, tout semble toujours au même point, l'époque a beau être redoutable, elle ne fait que faire couler le sang de notre peuple. Il n'y a que l'échelle qui change, car même si l'egypte a été reprise, les terres grecques souffrent d'un grand maelström comme je n'en ai encore jamais vu. Seth n'est plus notre préoccupation principale et pourtant il hante encore mes pensées..."


Il se tint à son trône, comme un vieux souverain ne sachant plus où trouver les réponses et les questions, mélangeant l'un et l'autre dans un casse tête insoluble. Il reprit son souffle. Gérer le monde des morts et tenter d'empêcher l'ouverture de celui d 'Hadès l'avait affaiblit plus qu'il ne voulait bien l'admettre. Cependant il ne dit rien car grand et fier est Osiris le seigneur des deux terres. Mais il se rendit compte lui même qu'il éludait la question de son épouse en parlant de politique et de guerre. Il se retourna de nouveau vers elle en s'asseyant et en l'entrainant sur l’accoudoir de son trône pour l'y asseoir.

"Que l'on fasse porter un siège, pour Isis, épouse d'Osiris, mère d'Horus, seigneur des deux Egyptes!"

Les serviteurs un peu plus loin s’empressèrent d’acquiescer et en attendant leur hâte, Osiris profita de ces quelques instants bien rare ces derniers temps, de proximité.


"Je ne vous tient pas rigueur de votre colère ô mon épouse, car je sais vous avoir délaissé pour une tâche bien triviale mais pourtant nécessaire à notre survie à tous. Car j'ai tenté de maintenir le sceau que j'avais fixé sur les enfers d'Hadès. Hélas, ce dernier a sacrifié ses dernières forces pour l'ouvrir et accéder de nouveau au monde des vivants en compagnie d'une déesse nommée Izanami. Celle là même qui règne sur les enfers par delà les terres à l'est et que sont époux avait jugé bon d'enfermé je ne sais pour quel motif, peut être connaissez vous mieux que moi leur histoire. Quoiqu'il en soit, je n'approuve pas cette libération, Izanami, aussi divine soit elle, est morte et sa place était aux enfers, jai bien peur qu'Hadès, celui que je jugeais autrefois comme mon égal ne se soit plongé dans une terrible folie"


Sur ces mots, le trône pour Isis arriva, fait d'or et d'ivoire à l'instar de celui d'Osiris, il voyait finir ses accoudoirs en forme d'Ankh et au dessus d'elle, trônait le disque solaire, symbole de son pouvoir. Osiris avait toujours été un dieu de discours mais il bougeait peu et son trône était l'endroit depuis lequel depuis toujours il pouvait gérer son royaume. Il posa sa main sur celle de sa compagne, chaude et douce, tout ce qui émanait du Dieu était à l'inverse de ce qu'il gouvernait, pourtant les cicatrices sur son corps étaient bien réelles et montraient que les ravages de Seth par le passé étaient encore bien présent.

"J'espérais pouvoir me réveiller dans un monde où la paix régnerait et où je pourrais partager ce temps perdu avec vous mon épouse, hélas... je ne vois que le néant et la mort qui ne font que nous séparer un peu plus chaque jour, vous, obligé de maintenir la vie en surface et moi, régnant sur les morts dans les profondeurs de la Terre. Mais même si j'ai peur je sais mon amour pour vous étant indestructible et je prie depuis que vous êtes partie contrariée que vous me reveniez pour pouvoir vous donner ceci..."

Osiris sortit de son étoffe un collier d'or sertis de milliers de pierres précieuses, plus fine les uns que les autres, au milieu, une plus imposante que les autres avec en son sein, un étrange feu follet, vert émeraude.

"Je l'ai créé en pensant à vous, depuis le tribunal des morts et avec l'aide de Maât qui, m'ôtant une partie de mon âme l'a fait glisser dans ce collier, ainsi, chaque fois que vous voudrez me vir, il suffira de le lui demander. Laissez moi le mettre à votre cou, si vous acceptez ce présent."

Et alors Osiris se leva et il fit ce que devant Isis seul il était capable de faire, il mit un genou à terre pour se retrouver à sa hauteur, le grand dieu se pencha en avant pour l’accrocher autour du cou de son épouse et alors qu'il le fixait autour de sa nuque pour une fraction d’éternité, il en profita pour glisser sa main et rapprocher le visage de sa bien aimée du sien et l'embrassa avec un amour qui ne s'était pas ternit depuis tout ces siècles, d'un baiser délicat qui ne fit qu'effleurer ses lèvres pour respecter son maquillage et sa pureté..


"Sachez que malgré notre long sommeil, jamais je n'ai cessé de vous aimer, ô Isis mon épouse"

Il resta ainsi accroupi devant elle, la regardant dans les yeux.
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